Maman, J’aurai voulu te faire sourire Bien plus que n’importe qui, J’aurai voulu devenir l’idéal de tes désirs de Maman, J’aurai voulu te faire rire, Mais vois-tu, mon cœur s’est assombris, J’aurai voulu te dire le moindre de mes secrets, Mais par peur de t’effrayer, Je me suis tus. J’aurai voulu te dire des tas de Je t’aime, Je l’ai fait, Mais pas autant que je le devais, J’imagine. Etrangement au moment où j’écris, Les larmes voilent mes yeux, Pourquoi ? Honnêtement Maman, Tu pensais me connaitre par cœur, Mais non, Désolé ce n’est qu’en apparence, Le vrai moi s’est envolé un mercredi matin. Ne me demande pas pourquoi, Je ne suis pas prêt pour te l’annoncer, Ton grand cœur en serai ravagé. Je t’aime Maman et donc, Comme toi, je prendrai sur moi. Ne t’inquiète pas, il reviendra, Le vrai moi, Un jour… Je t’aime Maman